Trois jours de suite, les 13, 14 et 15 septembre 2013, en soirée, la façade de la maison Victor Hugo de Besançon s’est colorée d’images. Ce son et lumière ne durait que quelques minutes, l’avez-vous vu ? Non... alors voici quelques tableaux choisis. 

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Vous n’avez pas le courage d’aller jusqu’au parking de La Rodia où s’installe ce soir l’Orchestre de Strasbourg. Ou vous craignez de ne pas avoir de place assise. Pas de regret, vous pouvez très bien suivre le concert d’ouverture du 66e Festival de musique de Besançon Franche-Comté ce vendredi 13 septembre 2013 confortablement installé dans votre canapé. Cette année, France 3 Franche-Comté le diffuse en direct sur son site internet, et France Bleu sur son antenne (jusqu’à 22h).

Et pour ceux qui auraient autre chose à faire ce soir, France 3 Franche-Comté propose demain, samedi 14 septembre à 15h20, une version de 52 minutes du concert.


Tout savoir sur ce 66e Festival international de musique de Besançon Franche-Comté et, notamment, sur ce concert d’ouverture ICI

A propos de ces diffusions sur France 3 Franche-Comté et France Bleu ICI


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Si le programme des Journées du Patrimoine de ce week-end des samedi 14 et dimanche 15 septembre 2013 est à Besançon, comme chaque année, très riche, méfiez-vous car de nombreuses visites demandent une réservation et les places sont souvent prises d’assaut plusieurs semaines avant.

Heureusement, pour ceux qui préfèrent s’y prendre au dernier moment, plusieurs lieux peuvent être (re)découvert sans réservation et à l’heure qu’ils veulent. C’est par exemple le cas de :

• L’hôtel de Clévans, siège de l’Etat-Major de Besançon (4 rue Lecourbe) : visite guidée des intérieurs et des jardins dimanche de 14h à 18h.
• La basilique et le cimetière de Saint-Ferjeux : visite commentée de la basilique samedi de 16h30 à 17h30 et dimanche de 10h à 11h. Visite commentée du cimetière samedi de 17h à 18h30 et dimanche de 11h à 12h.
• Le fort de Bregille : visite guidée de l’intérieur dimanche de 14h à 18h.
• Ou encore la très belle synagogue à l’architecture néo-mauresque (27 quai de Strasbourg) : dimanche de 14h à 18h.

Tout le programme des Journées du Patrimoine ICI

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Elle, c’est cette superbe et très rare apothicairie installée en 1738 par le pharmacien Baratte au rez-de-chaussée de la maison du 140 Grande-Rue à Besançon, à l’étage de laquelle naîtra Victor Hugo en 1802.

Baratte la tient jusqu’en 1800. Lui succède un certain Maire (de 1800 à 1858), puis un nommé Jacques (de 1858 à 1909). En 1910, la Ville de Besançon qui envisageait de racheter cette pharmacie historique y renonce, en raison des frais importants occasionnés par les grandes inondations survenues cette année-là. La pharmacie est vendue. Elle passe alors dans les mains de l’Américain Louis Singer - celui des machines à coudre - qui la place dans son château des environs de Saint-Jean-Cap-Ferrat, puis, en 1954, à son compatriote l’homme d’affaires Franck Jay Gould. Lequel l’offre à la Ville de Nice.

Présentée depuis 1969 au Palais Lascaris - l’un des musées du vieux Nice -, la pharmacie a enfin retrouvé sa place à Besançon, dans le cadre du réaménagement et de l’ouverture au public de la maison natale de Victor Hugo. Et les amoureux du patrimoine et de l’histoire de la capitale comtoise ne peuvent que s’en réjouir !


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Impossible d’ignorer que la Maison Victor Hugo va ouvrir prochainement à Besançon. Tel une tortue, l’illustre enfant de Besançon - qui y a, rappelons-le, passé moins de six semaines de sa longue vie - s’affiche aux quatre coins de la ville, habillé de ... sa maison du 140 Grande-Rue !

A propos de cette Maison Victor Hugo, lire ICI

Photo ci-dessus : l’une des affiches, à l’angle de la rue de la Cassotte et de la rue Chopard à Besançon © Besançon Info.