
La pratique pourrait être née dans les années 1980 en Hongrie ou beaucoup plus tôt en Allemagne. Elle a gagné Paris en 2008 et la voilà qui se manifeste à Besançon sur la rambarde du nouveau pont Battant, laquelle s’y prête parfaitement.
De quoi parle-t-on ?
Eh bien des cadenas d’amour. Ces petits cadenas marqués de leurs initiales ou d’inscriptions que les amoureux accrochent sur des monuments publics, souvent des ponts, jetant alors la clé dans la rivière qui coule dessous. Romantique certes, mais peu apprécié en général des élus en raison de leur poids quand ils sont légions et de la détérioration du patrimoine que cela peut entraîner.
©Besançon Info.

En début de semaine, Besançon Info s’interrogeait sur ces insolites lumières roses qui illuminaient la Grande-Rue à Besançon (lire l’article du 







Elle, c’est cette superbe et très rare apothicairie installée en 1738 par le pharmacien Baratte au rez-de-chaussée de la maison du 140 Grande-Rue à Besançon, à l’étage de laquelle naîtra Victor Hugo en 1802.