
Si vous fréquentez le centre ville de Besançon, vous ne pouvez pas ne pas les avoir vues. Dans certaines rues, sur certains parkings, sur certaines places, des flèches de bronze invitent à les suivre. Difficile de ne pas les remarquer. Il y en a une tous les 12 mètres! Des fois qu’on se perdrait d’un bout à l’autre de la rue.
Ces flèches, dont la réalisation et la pose ont coûté quand même 85.000 euros, matérialisent trois itinéraires pour découvrir le patrimoine de Besançon, avec l’appui d’une plaquette disponible version papier à l’office de tourisme ou téléchargeable via son site internet sur iphone, smartphone, GPS, etc.
Pour les touristes... mais aussi les Bisontins qui aimeraient mieux connaître les richesses de leur cité.
©Besançon Info
Vous avez sans doute déjà lu ailleurs que samedi prochain, 25 juin de 10h à 17h, on pourra aller se rendre compte de l’avancée du chantier de notre future Cité des arts et de la culture à l’occasion de portes ouvertes*. On le sait, ce bâtiment, qui en bord du Doubs regroupera le conservatoire et les collections d’art contemporain du FRAC de Franche-Comté, est l’oeuvre de l’architecte japonais Kengo Kuma. Un grand architecte nous dit-on depuis le début de ce projet, côté Mairie, CAGB et Conseil Régional. A voir la vidéo de quelques unes de ses constructions mise en ligne sur le site internet de la Cité des arts et de la culture, on en est vite convaincu. Se dégage de ses diverses réalisations, un sentiment d’extrême sérénité. Assurément, une très belle architecture.
Une odeur de lavande, en plein coeur de Besançon. Pas étonnant que l’agréable senteur aux accents du Sud se dégage, vue la taille des massifs qui agrémentent les abords de l’avenue de la Gare d’Eau, à son carrefour avec la rue du Porteau. Mais est-ce bien de la lavande? Des amis de retour d’un week-end en Provence m’ont expliqué justement cette semaine que ce qu’on croyait être de la lavande vraie était en fait généralement du lavandin. Alors, qu’en pensez-vous?
